Programme de soirée
Le père
Une farce tragique de Florian Zeller
Adaptation Emmanuel Reichenbach
Mise en scène Édith Patenaude
Une production Encore Spectacle
en collaboration avec le Théâtre du Nouveau Monde
Argument
Anne vient d’embaucher une nouvelle aide-soignante pour s’occuper de son père vieillissant. Elles sont nombreuses à s’être succédé au service d’André, prompt à les soupçonner de vol. Convaincu de son autonomie, celui-ci assure qu’il n’a besoin de personne pour l’aider. Mais il sent bien, pourtant, que quelque chose ne va pas. Les étrangetés se multiplient dans son environnement depuis quelque temps. Pourquoi son appartement paraît-il vidé de ses meubles ? Et qui est cet homme inconnu qui surgit dans son foyer ? Il prétend se nommer Pierre, être le conjoint de sa fille et habiter ici. André ne demeure-t-il donc plus chez lui ? Véritable dédale mental, Le père nous fait ressentir de l’intérieur, avec une rare acuité, la mémoire défaillante, la méfiance, la confusion grandissante d’un personnage en perte de repères, dont le texte adopte la perception subjective. Par une chronologie perturbée, la substitution d’interprètes ou la modification de scènes répétées, Florian Zeller rend palpable combien la réalité du protagoniste devient instable, plaçant le public lui-même dans un espace d’incertitude. Et à travers le désarroi de sa fille aimante, mais dépassée par cette situation difficile, sa pièce trace aussi le portrait d’une situation humaine poignante.
Programme de soirée
Le père
Une farce tragique de Florian Zeller
Adaptation Emmanuel Reichenbach
Mise en scène Édith Patenaude
Une production Encore Spectacle
en collaboration avec le Théâtre du Nouveau Monde
Argument
Anne vient d’embaucher une nouvelle aide-soignante pour s’occuper de son père vieillissant. Elles sont nombreuses à s’être succédé au service d’André, prompt à les soupçonner de vol. Convaincu de son autonomie, celui-ci assure qu’il n’a besoin de personne pour l’aider. Mais il sent bien, pourtant, que quelque chose ne va pas. Les étrangetés se multiplient dans son environnement depuis quelque temps. Pourquoi son appartement paraît-il vidé de ses meubles ? Et qui est cet homme inconnu qui surgit dans son foyer ? Il prétend se nommer Pierre, être le conjoint de sa fille et habiter ici. André ne demeure-t-il donc plus chez lui ? Véritable dédale mental, Le père nous fait ressentir de l’intérieur, avec une rare acuité, la mémoire défaillante, la méfiance, la confusion grandissante d’un personnage en perte de repères, dont le texte adopte la perception subjective. Par une chronologie perturbée, la substitution d’interprètes ou la modification de scènes répétées, Florian Zeller rend palpable combien la réalité du protagoniste devient instable, plaçant le public lui-même dans un espace d’incertitude. Et à travers le désarroi de sa fille aimante, mais dépassée par cette situation difficile, sa pièce trace aussi le portrait d’une situation humaine poignante.
Mot de Lorraine Pintal
Codirectrice générale et artistique
« Nous vivons de plus en plus dans l’oubli de l’être. Reconstituer cette sensibilité à la vie, cette attention au hasard, tel est le sens de l’art. »
— Milan Kundera
Cher public,
Celles et ceux qui ont lu le chef-d’œuvre incontestable de Milan Kundera, L’insoutenable légèreté de l’être, remarqueront qu’il y a chez Florian Zeller ce même regard posé sur la nature humaine, celle qui éclaire la tragédie du quotidien en apesanteur, presque avec aisance, un soupçon d’élégance. Florian Zeller insiste pour qualifier sa pièce Le père de farce tragique. La metteuse en scène Édith Patenaude et la troupe qui gravite autour de ce texte d’une originalité déconcertante ont fusionné leurs énergies créatrices pour créer ce choc, si salutaire, entre le rire et les larmes.
J’ai plongé dans l’univers de Florian Zeller en faisant le saut de l’ange : les bras ouverts sur sa trilogie théâtrale d’une puissance douloureuse et les pieds enracinés dans le destin d’une famille théâtrale fictive mais incarnée. D’abord la première pièce, La mère, qui met en scène la solitude d’une femme qui voit ses enfants s’éloigner du cocon familial. Puis, Le père qui offre le portrait troublant d’un homme qui sombre dans l’irréalité de son existence. En finale, Le fils qui, comme Icare, se brûle les ailes au feu d’un astre dévorant.
Pourquoi Le père ? Parce que selon moi, il s’agit de son texte le plus déroutant, une pièce polaroid. Plusieurs courts tableaux à vitesse variable se succèdent, les ruptures de tons s’accumulent, la logique du récit se casse. C’est comme si la vie d’un homme se déroulait à partir d’une photo d’enfance et s’arrêtait brusquement à un cliché d’adulte, étirant l’élastique du temps jusqu’à le rompre entièrement. Les couleurs sont délavées par l’oubli de celles et ceux qu’on a aimé·es et qu’on ne reconnaît plus. C’est ainsi que la vie d’André, magnifiquement joué par Marc Messier, et celle de sa fille Anne, défendue par l’émouvante Catherine Trudeau, se déroule sous nos yeux, sombrant dans l’illusion de la vie, un monde parallèle, un rêve éveillé.
Je garde une impression de saisissement, de décalage de la réalité, d’une émotion à vif lorsque je suis sortie de la salle de répétition. La direction sensible et intelligente d’Édith Patenaude, l’adhésion totale de son équipe de conception aux enjeux du texte et l’humanité des artistes interprètes qui le défendent nous prouvent à quel point le théâtre, cet art vivant si éphémère, peut creuser en nous des sillons que le temps ne comblera jamais.
Je tiens à remercier Encore Spectacle et plus spécialement Emmanuel Reichenbach, qui signe l’adaptation, d’avoir proposé au TNM la production de ce texte appelé à rayonner largement à l’échelle du Québec. Toutes les équipes du TNM prouvent à nouveau que le théâtre dans toute son exigence et sa complexité peut s’avérer un art d’une grande accessibilité, ouvert sur le monde.
MERCI de faire partie de cette extraordinaire aventure humaine qui nous rassemble et nous ressemble.
Lorraine Pintal
Mot de Florian Zeller
Auteur
Je voudrais dire toute ma gratitude au Théâtre du Nouveau Monde, à Encore Spectacle, ainsi qu’à Édith Patenaude et à toute son équipe artistique, de donner à cette pièce une nouvelle vie. De nombreuses histoires ont déjà été écrites sur la démence sénile – ce qui n’a rien de surprenant, si l’on considère qu’il s’agit d’un des drames les plus répandus de notre époque. Il me semblait malgré tout qu’un chemin inédit n’avait pas encore été emprunté. Pour moi, le théâtre est une sorte de miroir – parfois déformant, parfois brisé – dans lequel nous venons nous regarder, nous interroger sur nous-mêmes et tenter de mieux nous comprendre. Ce qui m’importait avant tout, en écrivant Le père, c’était de proposer une autre façon, non pas de regarder la cruauté de cette situation, mais de la vivre. En construisant le labyrinthe de cette pièce, je voulais que le spectateur expérimente lui-même cette perte de repères. C’était, de mon point de vue, le moyen le plus vivant de créer une empathie pour cette question qui nous concerne malheureusement tous.
Depuis sa création en 2012 à Paris, Le père a été jouée dans de nombreux théâtres, et j’ai toujours été bouleversé par l’accueil qui lui a été réservé. Nous avons tous un père ; et, au-delà de chaque expérience individuelle, je crois que la beauté du théâtre est de nous rappeler à quel point nos peurs sont semblables, comparables, fraternelles. Nous appartenons tous à quelque chose de plus large que nous-mêmes, quelque chose de fragile et de magnifique – qu’on appelle l’humanité. Et c’est en nous le rappelant que le théâtre nous offre une consolation véritable.
Florian Zeller
Florian Zeller
Auteur à succès
Né en 1979 à Paris, Florian Zeller est désormais reconnu comme le dramaturge français vivant le plus joué à travers le monde. Ce diplômé de l’Institut d’études politiques prend tôt la plume et connaît le succès dans diverses disciplines artistiques.
C’est d’abord comme romancier qu’il se fait connaître, au début de la vingtaine. Dès son premier livre, Neiges artificielles, l’auteur remporte une récompense : le prix de la Fondation Hachette, en 2002.
En parallèle à l’écriture de ses cinq romans, Zeller amorce rapidement son oeuvre de dramaturge. L’autre, bien accueilli, est le premier de ses textes portés sur les planches, en 2004. Si tu mourais reçoit en 2007 le Prix du Jeune Théâtre de l’Académie française. Un corpus qui compte à ce jour treize pièces, dont sa trilogie familiale : Le père, La mère et Le fils.
Le théâtre devient le domaine privilégié où Florian Zeller fait entendre sa voix, composant une oeuvre cohésive par ses thématiques, sa forme et le milieu qui y est dépeint. Ses pièces sont généralement campées dans des cercles intimes, domestiques, elles mettent de l’avant des dialogues entre ami·es, conjoint·es, amant·es ou membres de la famille.
Monté sur la scène internationale (dans une quarantaine de pays pour Le père), l’auteur français jouit d’une estime particulièrement forte de l’autre côté de la Manche.
C’est d’ailleurs en traduction anglaise, à Londres, qu’est créée sa treizième pièce à l’hiver 2022, Des trains à travers la plaine, sous le titre The Forest. Zeller a trouvé en Angleterre un traducteur attitré : nul autre que Sir Christopher Hampton, déjà oscarisé en 1988 pour son adaptation des Liaisons dangereuses. Celui-ci devient également son coscénariste lorsque le romancier et dramaturge se fait réalisateur, transposant tour à tour deux pièces au cinéma, dans la langue de Shakespeare : The Son, et le très primé The Father, réunissant à l’écran Sir Anthony Hopkins et Olivia Cole.
Florian Zeller habite désormais à Los Angeles où il a cofondé sa compagnie de production, Blue Morning Pictures.
Mot d'Emmanuel Reichenbach
Adaptation
Encore Spectacle est fier de s’associer au Théâtre du Nouveau Monde pour présenter Le père.
Cette pièce de Florian Zeller aborde, avec une immense finesse, les questions de la fragilité de la mémoire et des relations complexes entre les enfants et leurs parents lorsque la santé de ces derniers chancelle. Par sa sensibilité unique pour la langue et son génie pour la construction dramatique, le récit que tisse Zeller nous ramène aux piliers fondamentaux de l’art théâtral : l’empathie, la complexité des émotions humaines et l’identification sans jugement aux drames des personnages. En cette époque où le vieillissement de la population pose de nouveaux défis sociétaux, Le père est une œuvre nécessaire et bienveillante qui résonne tout autant qu’au jour de sa création.
Chapeau à Édith Patenaude pour sa magnifique mise en scène qui fait vivre parfaitement les mots de Zeller.
Encore Spectacle tient à remercier chaleureusement Lorraine Pintal, la formidable équipe du TNM, les interprètes investi·es, ainsi que tous les concepteurs et toutes les conceptrices du spectacle pour leur talent et leur collaboration inspirante.
Finalement, un grand merci aux spectateurs et spectatrices !
Place au théâtre !
Emmanuel Reichenbach
Une production ENCORE
Fondé à Montréal en mars 2000 et maintenant détenu par 14 employés actionnaires, le GROUPE ENCORE est l’une des entreprises les plus actives au Québec en production de contenu télévisuel et de spectacle (fiction, documentaire, variétés, humour, théâtre).
ENCORE SPECTACLE a vendu plus de 4 millions de billets de spectacle entre autres, pour les spectacles de Martin Matte, Patrick Huard, Mario Jean, Claudine Mercier, Marc Messier, Fabien Cloutier, Arnaud Soly, Marthe Laverdière, Mona de Grenoble et plusieurs autres, ainsi que de nombreuses pièces de théâtre dont Intouchables, Qu'est-ce qu'on a fait au Bon dieu, Silence on Tourne, Féministe pour Homme, Sainte-Marie-la-Mauderne, inspirée de La grande séduction.
Mot d'Édith Patenaude
Metteuse en scène
J’ai choisi, il y a quelques années, de travailler à courber ma perception du vieillissement pour le considérer non pas comme une malédiction, mais un privilège. J’utilise le verbe choisir sciemment, car nous vivons ici dans une culture qui valorise la jeunesse et ne fait pas que mépriser le grand âge, mais le cache, le nie. Ainsi, il a fallu que je m’astreigne à énoncer des faits contraires à ce que j’avais appris pour qu’ils deviennent, pour moi, vrais. Maintenant, je trouve belle une peau qui change de texture, je m’abreuve de la sagesse de celles et ceux qui m’ont précédée, je ne trouve rien de plus éloquent qu’un visage creusé de rides. Je veux ce visage, ces histoires, cette peau. Je veux apprendre à accepter les transformations de mon corps et à danser avec elles.
Mais les limites de l’esprit, elles, me terrifient toujours. Et cette angoisse grandit à mesure que mes parents prennent de l’âge, que je les imagine perdre leurs repères et, parce qu’ils sont mon socle, moi, perdre les miens.
Je ne sais à peu près rien de ce que l’on peut ressentir quand la mémoire se perce et se referme. Je ne sais pas non plus comment rassurer, adoucir, prendre soin. Je ne sais pas comment être là, dans la perte ou dans le soutien, parce que rien ne m’est montré, raconté. Où sont les guides qui m’apprendraient les étapes, les écueils, les deuils, mais aussi les beautés, la tendresse, l’humour qui unissent les personnes en perte de mémoire et celles qui les accompagnent ? Je ne sais rien et de là naît la peur.
Vieillir, si nous avons de la chance, nous arrivera, arrivera à celles et ceux que l’on aime. Il est aberrant ce refus de regarder cette rare expérience universelle, la mort, de l’apprivoiser, de se questionner sur nos souhaits, nos désirs jusqu’à elle, sur la décence du chemin pour nous y rendre. Le théâtre est, pour moi, l’espace des réalités perdues, de celles que l’attention dissipée ne parvient pas à saisir dans le rythme normal des choses. J’ai lu Le père et j’ai été happée et bouleversée. Je me suis dit : voilà enfin une œuvre qui révèle cet effritement inconnu, mais ordinaire ; qui me le fait voir, réfléchir, ressentir. Florian Zeller me donne à expérimenter tout ce qu’il y a de terrifiant, mais aussi d’émouvant, lorsqu’on perd, que ce soit la mémoire ou un être cher. Il nous amène au bout de notre humanité, dans ces retranchements étrangement tabous qui vont pourtant de pair avec le rêve commun d’une vie longue.
Je tiens à souligner le travail d’horloger des conceptrices et concepteurs qui ont créé de la magie sans perdre de vue l’essentiel ; qui ont collaboré avec sensibilité pour qu’une bulle d’intimité protège le drame qui se joue ; que celui-ci soit hypnotisant et traité avec dignité.
Devant l’équipe d’interprètes, je ne peux que m’incliner et reconnaître cet immense privilège que j’ai eu d’assister à tant de générosité, de respect et de joie. C’est l’engagement extraordinaire de leurs cœurs et de leurs esprits qui crée la véritable magie, celle humaine, celle qui compte et qui transforme.
Un merci chaleureux aux équipes du TNM et d’Encore, qui ont été d’un soutien inestimable, nourrissant la liberté de création pendant tout le processus.
Édith Patenaude
Distribution
Équipe de création
Texte
Florian Zeller
Adaptation
Emmanuel Reichenbach
Mise en scène
Édith Patenaude
Assistance à la mise en scène et régie
Adèle Saint-Amand
Décor
Odile Gamache et Julie Measroch
Costumes
Cynthia St-Gelais
Éclairages
Julie Basse
Conception sonore
Alexander MacSween
Accessoires
Julie Measroch
Maquillages
Sylvie Rolland Provost
Collaborations à la production
DÉCOR
Réalisé par
Les productions Yves Nicol inc.
Directeur des opérations
Patrick Perrin
Chargé de projet et dessins
Pierre Dufour
Chef menuisier
Laurent Rivard
Chef soudeur
Yannick Théroux-Lavallée
Département artistique
Jonathan Charland
Bruno Rathbone
Menuisiers
Corentin Jacotot
Guillaume Lienard
Lilian Gourbin
Israel Dubé
Marc-Antoine D.Robitaille
Rodrigo Salgado Méndez
Soudeur
Ian Gravelle
Peintres scéniques
Mélanie Oliveira de Castro
Gantulga Temendemberel
Alexandra Ross
Molly Stockless
Dessins
Georges Papachristou
COSTUMES
Assistance aux costumes
Sarah Chabrier
Coupe
Julie Sauriol
Couture
Laurence Beauchemin
Cyrille Brin-Delisle
ÉQUIPE DE SCÈNE - TNM
Chef machiniste
Marc Barsalou
Chef éclairagiste
Geoffrey Frood
Chefs son
Maxime Gamache
Paul Lepage
Chef accessoiriste
François Mitchell
Cheffe habilleuse
Martine Séguin
COLLABORATIONS AUX COMMUNICATIONS
Agence de communication graphique+
Compagnie et cie
Service de presse
Martine Laforce,
Roy & Turner communications
Photographe affiches
Jean-François Gratton,
shoot studio
Photographe de scène
Yves Renaud
Agence web
ctrlweb
Billetterie infonuagique
Outbox technologies
Équipe – Encore Spectacle
Producteurs Emmanuel Reichenbach, Julie Provençal, Patrick Leduc
Directrice, Communications et marketing Mélanie Sylvestre
Directrice des opérations Catherine Desgagnés
Directeur des finances Patrick Gérard
Comptable Christine Limoges, Karine Caron
Remerciements - Encore Spectacle
François Rozon, Dominique Simard, Suzanne Sarquier, Elisabeth Sémon, Antoine du Besset, Édith Patenaude, Catherine Desgagnés, Mélanie Sylvestre, Alexia Tapp, Christine Limoges, Karine Caron , Patrick Gérard, Florian Zeller, Laura Bawol, Marie-Claude Goodwin, Patrick Loubert, Karyne Doucet-Larouche, Lorraine Pintal, Roy et Turner Communications, Mint agence de publicité numérique
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