TOUTE UNE NUIT DE POÉSIE
1998
Le samedi 26 septembre, à la tombée de rideau des Oranges sont vertes, mises en scène par Lorraine Pintal, le public est convié, de minuit à 6 heures du matin, à célébrer à travers les mots de cinquante poètes du nouveau millénaire le cinquantième anniversaire du mouvement automatiste. Ce happening se veut également un clin d’œil à la mythique Nuit de la poésie du 27 mars 1970, véritable tsunami identitaire provoqué entre autres par la présence de Claude Gauvreau qui électrisait le public de sa poésie exploréenne. À l’organisation, l’artiste interdisciplinaire D. Kimm, qui elle-même montera sur scène, réunit des poètes de toutes les générations et de toutes les tendances : des porte-voix toujours vivants de l’événement du Gesù, Paul Chamberland, Raôul Duguay, Claude Péloquin, Yves Préfontaine, Michelle Rossignol, auxquels se joignent Claude Beausoleil, Denise Boucher, Dominic Champagne, Jean-Paul Daoust, Michel Garneau, Roland Giguère, Alexis Martin, Jean-François Poupart et de nouveaux visages de la poésie contemporaine. Une nuit survoltée qui renoue avec l’esprit de la prise de parole en direct qui s’est éclatée sur la scène montréalaise devant des milliers de personnes 30 ans auparavant et qui a été immortalisée par les cinéastes Jean-Claude Labrecque et Jean-Pierre Masse.
Toile de Pierre Gauvreau, © gracieuseté de Janine Carreau
Les oranges sont vertes de Claude Gauvreau, m.e.s. Lorraine Pintal, 1998-1999
Pierre Lebeau, Marie-France Marcotte, © Christian Desrochers
Les oranges sont vertes de Claude Gauvreau, m.e.s. Lorraine Pintal, 1998-1999
Pierre Collin, Gabriel Sabourin, Pascale Montpetit, Pierre Lebeau, © Christian Desrochers
LE TNM DE LORRAINE PINTAL
TOUTE UNE NUIT DE POÉSIE
1998
Le samedi 26 septembre, à la tombée de rideau des Oranges sont vertes, mises en scène par Lorraine Pintal, le public est convié, de minuit à 6 heures du matin, à célébrer à travers les mots de cinquante poètes du nouveau millénaire le cinquantième anniversaire du mouvement automatiste. Ce happening se veut également un clin d’œil à la mythique Nuit de la poésie du 27 mars 1970, véritable tsunami identitaire provoqué entre autres par la présence de Claude Gauvreau qui électrisait le public de sa poésie exploréenne. À l’organisation, l’artiste interdisciplinaire D. Kimm, qui elle-même montera sur scène, réunit des poètes de toutes les générations et de toutes les tendances : des porte-voix toujours vivants de l’événement du Gesù, Paul Chamberland, Raôul Duguay, Claude Péloquin, Yves Préfontaine, Michelle Rossignol, auxquels se joignent Claude Beausoleil, Denise Boucher, Dominic Champagne, Jean-Paul Daoust, Michel Garneau, Roland Giguère, Alexis Martin, Jean-François Poupart et de nouveaux visages de la poésie contemporaine. Une nuit survoltée qui renoue avec l’esprit de la prise de parole en direct qui s’est éclatée sur la scène montréalaise devant des milliers de personnes 30 ans auparavant et qui a été immortalisée par les cinéastes Jean-Claude Labrecque et Jean-Pierre Masse.
Toile de Pierre Gauvreau, © gracieuseté de Janine Carreau
Les oranges sont vertes de Claude Gauvreau, m.e.s. Lorraine Pintal, 1998-1999
Pierre Lebeau, Marie-France Marcotte, © Christian Desrochers
Les oranges sont vertes de Claude Gauvreau, m.e.s. Lorraine Pintal, 1998-1999
Pierre Collin, Gabriel Sabourin, Pascale Montpetit, Pierre Lebeau, © Christian Desrochers