LA GÉNIALE MACHINE TECHNOLOGIQUE DE LEPAGE
2003
À la suite du triomphe international de la création de La trilogie des dragons, Olivier Reichenbach invite Robert Lepage à mettre son génie technologique au service du théâtre classique et de l’onirique comédie de Shakespeare, Le songe d’une nuit d'été, avec les comédiens du TNM. La magie opère instantanément et le spectacle remporte le prix Gascon-Roux de la meilleure mise en scène. La saison suivante, il dirige La vie de Galilée de Bertolt Brecht, une impressionnante production dont la gigantesque et terrifiante machine de bois, imaginée par le scénographe Michel Crète, fait les manchettes. Nous sommes à la fin des années quatre-vingt et l’étoile Lepage brille déjà de tous ses feux. Le monde s’offre à lui et ce n’est qu’en 2003 qu’il sera de retour, à l’invitation de Lorraine Pintal, mais cette fois en solo avec La face cachée de la lune : de ses talents conjugués de conteur, metteur en scène et comédien, il enflamme les guichets. Nouvelle consécration en 2006 avec Le projet Andersen, repris quelques mois plus tard avec son alter ego Yves Jacques. Du Dragon bleu à la machine de guerre Coriolan, en passant par la re-création des Aiguilles et l’opium avec Marc Labrèche et son solo 887 qui, dans un environnement visuel à couper le souffle, tisse des liens sensibles entre l’histoire du Québec et son enfance, chaque spectacle de Robert Lepage crée l’événement.
La face cachée de la lune, texte et m.e.s. Robert Lepage, 2002-2003, Yves Jacques, © gracieuseté Ex Machina
Le projet Andersen texte et m.e.s. Robert Lepage, 2005-2006, © gracieuseté Ex Machina
Les aiguilles et l’opium, texte et m.e.s. Robert Lepage, 2013-2014, Marc Labrèche, © Nicolas-F. Vachon
887, texte et m.e.s. Robert Lepage, 2015-2016, © Érick Labbé
LE TNM DE LORRAINE PINTAL
LA GÉNIALE MACHINE TECHNOLOGIQUE DE LEPAGE
2003
À la suite du triomphe international de la création de La trilogie des dragons, Olivier Reichenbach invite Robert Lepage à mettre son génie technologique au service du théâtre classique et de l’onirique comédie de Shakespeare, Le songe d’une nuit d'été, avec les comédiens du TNM. La magie opère instantanément et le spectacle remporte le prix Gascon-Roux de la meilleure mise en scène. La saison suivante, il dirige La vie de Galilée de Bertolt Brecht, une impressionnante production dont la gigantesque et terrifiante machine de bois, imaginée par le scénographe Michel Crète, fait les manchettes. Nous sommes à la fin des années quatre-vingt et l’étoile Lepage brille déjà de tous ses feux. Le monde s’offre à lui et ce n’est qu’en 2003 qu’il sera de retour, à l’invitation de Lorraine Pintal, mais cette fois en solo avec La face cachée de la lune : de ses talents conjugués de conteur, metteur en scène et comédien, il enflamme les guichets. Nouvelle consécration en 2006 avec Le projet Andersen, repris quelques mois plus tard avec son alter ego Yves Jacques. Du Dragon bleu à la machine de guerre Coriolan, en passant par la re-création des Aiguilles et l’opium avec Marc Labrèche et son solo 887 qui, dans un environnement visuel à couper le souffle, tisse des liens sensibles entre l’histoire du Québec et son enfance, chaque spectacle de Robert Lepage crée l’événement.
La face cachée de la lune, texte et m.e.s. Robert Lepage, 2002-2003, Yves Jacques, © gracieuseté Ex Machina
Le projet Andersen texte et m.e.s. Robert Lepage, 2005-2006, © gracieuseté Ex Machina
Les aiguilles et l’opium, texte et m.e.s. Robert Lepage, 2013-2014, Marc Labrèche, © Nicolas-F. Vachon
887, texte et m.e.s. Robert Lepage, 2015-2016, © Érick Labbé