Programme de soirée

La femme qui fuit


D'Anaïs Barbeau-Lavalette
Adaptation théâtrale Sarah Berthiaume
Mise en scène Alexia Bürger

Une production du Théâtre du Nouveau Monde
En collaboration avec


Argument

Où est Suzanne ? Elle est partie. Elle est la femme qui fuit. La femme qui abandonne ses deux jeunes enfants. En 1952. Comment est-ce possible ? ✹ Qui est Suzanne ? Elle est peintre et poète. Elle est proche du groupe des automatistes qui, à travers son manifeste collectif Refus global, déboulonne les entraves à la liberté et ouvre la porte à la modernité au Québec en 1948. ✹ Sa petite-fille, Anaïs, cherche aujourd’hui à comprendre qui était cette femme-mystère avide de liberté. Elle enquête, tire les fils du parcours de vie de sa grand-mère depuis l’enfance. Elle la cherche, la poursuit sans relâche. ✹ Qu’est devenue Suzanne Meloche après sa séparation avec son mari, Marcel Barbeau, et l’abandon de Manon, trois ans, de François, un an ? ✹ Les hommes qui ont traversé sa vie, les villes qu’elle a habitées, son engagement auprès du mouvement des droits civiques aux États-Unis, sa solitude, son désespoir, ses délires… Anaïs apprend α connaître cette grand-mère qui n’a pas voulu faire sa connaissance. ✹ Anaïs n’est pas seule dans sa quête. Elle est entourée sur scène d’un groupe de personnes qui fait corps avec elle. C’est ensemble que le chœur reconstitue l’histoire de Suzanne, entre l’intime et le collectif. — Danielle Laurin


La femme qui fuit est une œuvre de fiction. La mise en situation des personnages et des événements est purement imaginaire.


La femme qui fuit
© Jean-François Gratton

La femme qui fuit
© Jean-François Gratton

Programme de soirée

La femme qui fuit


D'Anaïs Barbeau-Lavalette
Adaptation théâtrale Sarah Berthiaume
Mise en scène Alexia Bürger

Une production du Théâtre du Nouveau Monde
En collaboration avec


Argument

Où est Suzanne ? Elle est partie. Elle est la femme qui fuit. La femme qui abandonne ses deux jeunes enfants. En 1952. Comment est-ce possible ? ✹ Qui est Suzanne ? Elle est peintre et poète. Elle est proche du groupe des automatistes qui, à travers son manifeste collectif Refus global, déboulonne les entraves à la liberté et ouvre la porte à la modernité au Québec en 1948. ✹ Sa petite-fille, Anaïs, cherche aujourd’hui à comprendre qui était cette femme-mystère avide de liberté. Elle enquête, tire les fils du parcours de vie de sa grand-mère depuis l’enfance. Elle la cherche, la poursuit sans relâche. ✹ Qu’est devenue Suzanne Meloche après sa séparation avec son mari, Marcel Barbeau, et l’abandon de Manon, trois ans, de François, un an ? ✹ Les hommes qui ont traversé sa vie, les villes qu’elle a habitées, son engagement auprès du mouvement des droits civiques aux États-Unis, sa solitude, son désespoir, ses délires… Anaïs apprend α connaître cette grand-mère qui n’a pas voulu faire sa connaissance. ✹ Anaïs n’est pas seule dans sa quête. Elle est entourée sur scène d’un groupe de personnes qui fait corps avec elle. C’est ensemble que le chœur reconstitue l’histoire de Suzanne, entre l’intime et le collectif. — Danielle Laurin


La femme qui fuit est une œuvre de fiction. La mise en situation des personnages et des événements est purement imaginaire.

Lorraine Pintal
© Jean-François Gratton

Mot de Lorraine Pintal


« La robe-rideau-de-théâtre se hisse sur le spectacle d’infinité (…) et l’appelle au chavirement du coucher d’astre aux parois haletantes de photographie de sang. »


Cette citation de Claude Gauvreau, tirée de son chef‑d’œuvre Les oranges sont vertes, est pour moi l’une des plus belles déclarations d’amour que puisse faire un poète à sa muse. Le corps‑poésie de Gauvreau s’inscrit parfaitement dans le tableau qu’a peint Anaïs Barbeau‑Lavalette en décrivant sa quête identitaire qui l’a menée vers cette beauté baroque que fut sa grand‑mère Suzanne Meloche.

J’ai dévoré son roman La femme qui fuit, comme des milliers de lecteurs et lectrices sans doute, puisque l’œuvre connaît un rayonnement qui dépasse toujours largement les frontières du Québec.

Je rêve depuis quatre ans de voir s’incarner ces personnages romanesques sur la scène du TNM. La pandémie a fait éclater ce projet en mille morceaux et la saison 2024‑2025 permet de les recoller et d’en faire une formidable toile automatiste. À force de conviction et de persévérance, la metteuse en scène Alexia Bürger et l’autrice Sarah Berthiaume qui signe l’adaptation théâtrale ont réuni une incroyable troupe de concepteurs, de conceptrices et de dix‑neuf comédiens et comédiennes autour de cette saga qui transgresse tous les codes de la théâtralité.

Borduas et les membres de l’Egrégore, qui regroupait l’ensemble des automatistes, préconisait l’unicité du geste créatif en exigeant qu’il soit non reproduisible, éclatant dans son caractère éphémère.  Le théâtre en soi se crée dans l’instant présent et chaque moment est inégalable. La mise en espace d’Alexia Bürger ainsi que la conception de ses équipes redoutablement efficaces vont dans ce sens : mettre en relief la nature rebelle et compacte de Suzanne Meloche.

Sur fond d’une immense toile blanche érigée à la verticale, les personnages dessineront eux-mêmes le tableau automatiste symbolisant la féminité ostracisée par une société soumise à la violence de la censure édictée par les pouvoirs religieux et politiques de l’époque.

Je salue ici la démarche de tous les artistes impliqué·es dans cette création ainsi que l’accompagnement formidable que les équipes du TNM leur procurent. Dans ce Nouveau Monde qui ne demande qu’à renaître, il y a également une forme de résurrection intime, puisque les fantômes cernant la chambre d’écriture d’Anaïs Barbeau‑Lavalette vont former un chœur de drame antique où la comédienne Catherine De Léan fait office de coryphée.

Jamais je n’ai autant senti ce lien indéfinissable qui se crée entre l’œuvre ancienne et l’histoire contemporaine. J’y retrouve avec ravissement le cœur de la mission du TNM que je vous offre à vous, cher public, pour que vous puissiez rythmer ses pulsations avec vos propres pulsions.

L’homme de théâtre Antonin Artaud a dit que l’artiste est un athlète du cœur. Je passe donc le flambeau quasi olympique à Geoffrey Gaquère à qui le conseil d’administration du TNM a confié les rênes de cet espace qui est en train de devenir un bijou précieux serti dans l’écrin montréalais.

Je lui laisse le soin de conclure ce mot de direction en lui souhaitant un MERDE IMMENSE pour l’avenir et en vous disant, cher public, un MERCI SONORE pour m’avoir permis de grandir avec vous et le TNM.

Lorraine Pintal
Codirectrice générale et artistique du TNM de 1992 à août 2024

Geoffrey Gaquère
© Éva-Maude TC

Mot de Geoffrey Gaquère


Chère Lorraine,

Permets‑moi de me faire la voix du public en te remerciant du fond du cœur pour ton dévouement sans faille envers cette grande maison. C’est un Théâtre du Nouveau Monde ouvert, agrandi, en santé, que toi et ton équipe transmettez aujourd’hui. Ton flambeau est ardent, et ton legs est immense !

Comme ta nouvelle saison, attentive aux remous du monde et qui débute par l’adaptation théâtrale de La femme qui fuit, roman bouleversant d’Anaïs Barbeau‑Lavalette.

En imaginant la vie de sa grand-mère, Anaïs écrit les pages d’une mémoire familiale, mais aussi de la nôtre, celle d’une société qui évolue. L’art, ici, en est un de la réparation. Et l’écriture, un chemin de liberté.

Merci à elle et à la grande famille de La femme qui fuit, portée par Alexia Bürger et Sarah Berthiaume.

Et merci à vous, cher public, de répondre présent à l’invitation de ce Nouveau Monde.

Au plaisir de nous rencontrer prochainement et de faire connaissance,

Geoffrey Gaquère
Codirecteur général et artistique du TNM depuis septembre 2024

Anaïs Barbeau-Lavalette
@ Lawrence Fafard

Mot d'Anaïs Barbeau-Lavalette


Autrice

Je l’ai rencontrée il y a 10 ans.
Je le sais grâce à ma fille qui poussait dans mon ventre pendant que je cherchais les mots pour la raconter, elle, la d’abord invisible Femme qui fuit. Le fantôme, la béance, la voleuse : ma grand-mère. Elle n’avait même pas de nom pour moi, à cette époque‑là. Et puis, progressivement, en la poursuivant, en incarnant sa fuite à travers ses pas, à travers ses idées, sa puissance, ses failles, à travers son corps et ses sens, Suzanne Meloche a pris vie. Ma grand‑mère est devenue une femme.

Depuis que le livre existe, des corps de tous âges se sont échoués sur mon épaule, des abandonnées, beaucoup, mais des abandonneuses aussi. Comme si, dans la vie de Suzanne, la leur trouvait écho. De ces échos réparateurs qui font qu’on n’est plus seul·e au monde. De ces échoué·s qui nous accrochent au reste des vivants.

Nous sommes encore en train d’apprendre à être libres.
Nous sommes au balbutiement de la plus merveilleuse et complexe des quêtes : être libres ensemble. S’agrandir, s’ensauvager, se laisser porter par les grands vents vitaux tout en prenant doucement soin des liens si précieux qui nous font, ceux qui nous retiennent au sol.

Partir ou rester. Les deux élans sont essentiels.
Les deux font partie du ventre de l’humanité. Et s’ils peuvent se livrer bataille, il nous appartient de les faire valser.
À nous d’inventer la suite de nos émancipations. Elle sera imparfaite, mais toujours courageuse et tendre. Oui, nous effriterons les dogmes et en ferons des éclats de tendresse.

Merci à Lorraine, à Sarah et à Alexia pour ce second souffle porté aux ailes de mon roman.

Merci à ma mère immense, ma mère volcan, ma mère qui brille dans le noir d’avoir pris son histoire par le collet et d’avoir appris à aimer.

Merci à ma fille d’être si vivement la suite de nous toutes.

Anaïs Barbeau‑Lavalette

En plus du Prix des libraires du Québec et du Grand Prix du livre de Montréal, le roman La femme qui fuit a remporté le prix France‑Québec et séduit plus de 200 000 lectrices et lecteurs dans le monde avant d’être traduit dans une douzaine de langues.

Sarah Berthiaume
© Hugo B. Lefort

Mot de Sarah Berthiaume


Adaptatrice

J’ai lu La Femme qui fuit d’une traite — sans savoir que je l’adapterais un jour —  l’été où j’étais enceinte de mon garçon.

Nauséeuse et fébrile dans une tente du Nouveau‑Brunswick, j’ai découvert le parcours punk de Suzanne Meloche sous la plume prodigieuse de sa petite‑fille. Je me souviens d’avoir été éblouie par la liberté qu’Anaïs se donnait, d’ainsi réparer son histoire familiale dans un roman. De repriser le réel avec de la fiction. De poser ce geste radical d’imagination.

Et dans le vertige de ma maternité à venir, le fantôme de Suzanne s’est aussi glissé dans ma tente pour me souffler la question : pourrai‑je avoir des enfants et continuer d’écrire ? Que coûterait cet amour absolu à mon corps et à ma liberté ?

*

Sept ans plus tard, après avoir bordé mon garçon et allaité ma fille de quelques mois, je remettais la version finale du texte que vous entendrez ce soir.

Entre ces deux pôles, un univers : deux enfants, une fin du monde, quelques nouvelles pièces.

Si l’abandon de Suzanne m’apparaît toujours aussi impardonnable, je comprends, pour l’avoir vécu, ce besoin viscéral de fuir, de s’accrocher à l’horizon et d’ouvrir la bouche pour y faire entrer l’air, tout le nouvel air possible.

Mais j’ai la chance de ne pas vivre à l’époque de Suzanne; j’ai la chance de ne pas avoir à être cette femme‑là, celle qui renonce. Alors, je ne renonce à rien. Et j’espère que collectivement, nous continueront à nous battre pour que nos filles aient, elles aussi, assez de place pour la magie et les mystères objectifs; pour l’amour et les nécessités.

Merci à Anaïs et Alexia, pour leur talent immense et leur confiance globale.

Merci à Marc d’être un artiste, un amoureux et un père d’exception.

Je dédie cette pièce à Gaspard et Fanette que j’ai la chance d’élever en écrivant du théâtre.

Sarah Berthiaume

Alexia Bürger
© Le petit russe

Mot d'Alexia Bürger


Metteuse en scène

Il est naïf et malsain de considérer les hommes et les choses de l’histoire dans l’angle amplificateur de la renommée qui leur prête des qualités inaccessibles à l’homme présent. – Refus global (1948)


Dans leur Refus global, les automatistes nous parlent de l'Histoire comme d'un trésor vivant, une réserve poétique qui ne peut être transmise que si elle est transformée. Sinon, disent-il : c'est le gauchissement.

Le Gauchissement désigne la déformation de la surface initialement plane d'un matériau, d'une pièce de bois, d'un ouvrage lorsqu'elle adopte une courbe qui ne peut plus se développer. Le gauchissement du bois peut être irréversible. Les efforts pour le contrecarrer conduisent à la rupture.

En réécrivant la vie de sa grand-mère Suzanne, Anaïs Barbeau-Lavalette s'est octroyé la liberté de resculpter son histoire. Elle s'est donné le courage de faire prendre une autre courbure à la fatalité. Elle nous a dessiné un horizon à même les failles, les creux, et les trous du passé. C'est à même ce matériau renouvelé que la brillante Sarah Berthiaume nous a fabriqué la partition, pleines de possibles, d'unissons et de sensibilité que nous vous livrerons, ensemble, ce soir. Je les remercie toutes deux de tisser tant de sens et de beauté à même l'absurdité du monde.

Le spectacle que vous allez voir demande à exister depuis longtemps:  il devait avoir lieu avant même la COVID et les coupures budgétaires massives en culture des dernières années. Pour qu'il puisse naître envers et malgré tout, dans la forme que vous verrez ce soir, tous les gens qui y ont travaillé (interprètes, concepteur·rices, technicien·nes, membres de l’équipe du TNM) ont dû faire preuve d'un investissement et d'une souplesse de tous les instants. Tous et toutes se sont livré·es à un travail exigeant et acharné, sur une période de création anormalement condensée. Je les remercie (individuellement et pour toujours) d'avoir prêté leur talent, leur rigueur, leur savoir-faire et leur sensibilité à ce processus olympique. Un merci particulier à Stéphanie Capistran-Lalonde, notre cheffe d'orchestre de l'ombre, notre almanach, notre matière grise, sans qui rien de ce qui n'arrive ce soir ne serait possible. Merci à Lorraine Pintal pour cette chance donnée. Merci à toute la vive et merveilleuse équipe du TNM pour leur écoute, leur souplesse et leur implication de tous les instants.

Merci aussi à Koa Lê, à Mélanie Demers, à toute la talentueuse cohorte de l'École nationale de théâtre qui devait (jadis) faire partie de ce spectacle et s'est prêté à une première étape de recherche. Si certain·es sont (encore) invisibles à l'œil nu sur cette grande scène - ils et elles sont bel et bien là, dans le décor, debout, juste derrière nous. Prêt·es à prendre les devants. À s'incarner sur nos scènes avec leurs mots, leurs gestes, et à mettre joyeusement le feu aux années à venir.

Équipe de création



Autrice
Anaïs Barbeau-Lavalette

Adaptation théâtrale
Sarah Berthiaume

Mise en scène
Alexia Bürger

Assistance à la mise en scène et régie
Stéphanie Capistran‑Lalonde

Décor
Simon Guilbault

Costumes
Julie Charland


Éclairages
Martin Labrecque

Musique originale
Philippe Brault
Frannie Holder

Directrice du mouvement
Wynn Holmes

Accessoires
Julie Measroch

Maquillages et coiffures
Justine Denoncourt

Équipe de création


Autrice
Anaïs Barbeau-Lavalette

Adaptation théâtrale
Sarah Berthiaume

Mise en scène
Alexia Bürger

Assistance à la mise en scène et régie
Stéphanie Capistran‑Lalonde

Décor
Simon Guilbault

Costumes
Julie Charland

Éclairages
Martin Labrecque

Musique originale
Philippe Brault
Frannie Holder

Directrice du mouvement
Wynn Holmes

Accessoires
Julie Measroch

Maquillages et coiffures
Justine Denoncourt

Collaborations à la production



Assistance aux costumes
Julia Metzger

Assistance aux accessoires
Kathlyne Levesque‑Caron

Conseiller vocal
Luc Bourgeois

Répétiteur
Jérémie Roy


DÉCOR


Réalisé par
Les productions Yves Nicol inc.

Directeur des opérations
Patrick Perrin

Chargé de projet et dessins
Georges Papachristou

Chef menuisier
Laurent Rivard

Chef soudeur
Yannick Théroux-Lavallée

Département artistique
Bruno Rathbone

Menuisiers
Corentin Jacotot
Lilian Gourbin
Rodrigo Salgado Méndez
Olivier Tremblay
Mirehsan Moadddab

Soudeur
Ian Gravelle

Peintres scéniques
Mélanie Oliveira de Castro
Gantulga Temendemberel
Mélissa Lesourd


COSTUMES


Couturière
Marie-Hélène Gervais


STAGIAIRES


Stagiaire à la mise en scène
Faiza Maskhouni

Stagiaire à la production
Hedwige Dumont


REMERCIEMENTS


Gabriel Lemire
Philippe Néméh-Nombré
Alexandra Pierre
Anna Romagny


COLLABORATIONS AUX COMMUNICATIONS


Agence de communication graphique+
Compagnie et cie

Service de presse
Martine Laforce,
Roy & Turner communications

Photographe affiches
Jean-François Gratton,
shoot studio

Photographe de scène
Yves Renaud

Agence web
ctrlweb

Billetterie infonuagique
Outbox technologies


ÉQUIPE DE SCÈNE


Chef machiniste
Marc Barsalou

Chef éclairagiste
Geoffrey Frood

Chefs son
Philippe Robert

Chef accessoiriste
Marc Raymond

Cheffe habilleuse
Joan Lessard

Habilleuse
Martine Séguin

Collaborations à la production


Assistance aux costumes
Julia Metzger

Assistance aux accessoires
Kathlyne Levesque‑Caron

Conseiller vocal
Luc Bourgeois

Répétiteur
Jérémie Roy


DÉCOR


Réalisé par
Les productions Yves Nicol inc.

Directeur des opérations
Patrick Perrin

Chargé de projet et dessins
Georges Papachristou

Chef menuisier
Laurent Rivard

Chef soudeur
Yannick Théroux-Lavallée

Département artistique
Bruno Rathbone

Menuisiers
Corentin Jacotot
Lilian Gourbin
Rodrigo Salgado Méndez
Olivier Tremblay
Mirehsan Moadddab

Soudeur
Ian Gravelle

Peintres scéniques
Mélanie Oliveira de Castro
Gantulga Temendemberel
Mélissa Lesourd

COSTUMES


Couturière
Marie-Hélène Gervais


STAGIAIRES


Stagiaire à la mise en scène
Faiza Maskhouni

Stagiaire à la production
Hedwige Dumont


REMERCIEMENTS


Gabriel Lemire
Philippe Néméh-Nombré
Alexandra Pierre
Anna Romagny

COLLABORATIONS AUX COMMUNICATIONS


Agence de communication graphique+
Compagnie et cie

Service de presse
Martine Laforce,
Roy & Turner communications

Photographe affiches
Jean-François Gratton,
shoot studio

Photographe de scène
Yves Renaud

Agence web
ctrlweb

Billetterie infonuagique
Outbox technologies


ÉQUIPE DE SCÈNE


Chef machiniste
Marc Barsalou

Chef éclairagiste
Geoffrey Frood

Chefs son
Philippe Robert

Chef accessoiriste
Marc Raymond

Cheffe habilleuse
Joan Lessard

Habilleuse
Martine Séguin

Merci à nos partenaires !


Grand partenaire de saison


HYDRO-QUÉBEC

Partenaire annuel


POWER CORPORATION DU CANADA

Partenaires de production


BMO GROUPE FINANCIER
CAISSE DESJARDINS DE LA CULTURE
SUN LIFE

Transporteur officiel


AIR CANADA

Grands collaborateurs


ASTRAL
LA PRESSE
RADIO-CANADA

Partenaires de services


CINÉMA BEAUBIEN, DU PARC ET DU MUSÉE
COMPLEXE DESJARDINS
LIBRAIRIE RENAUD-BRAY

UQAM

Partenaires gouvernementaux


CONSEIL DES ARTS ET DES LETTRES DU QUÉBEC 
CONSEIL DES ARTS DU CANADA 
CONSEIL DES ARTS DE MONTRÉAL 
MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DES COMMUNICATIONS DU QUÉBEC 
PATRIMOINE CANADIEN 
VILLE DE MONTRÉAL

Lysis


Appréciation du public

Voici les résultats de notre sondage éclair d'appréciation mené auprès des spectatrices et spectateurs de notre dernière production, Lysis de Fanny Britt et Alexia Bürger, dans une mise en scène de Lorraine Pintal.